«L’addition des devoirs de mémoire ne conduit pas à l’histoire, elle la désagrège.» (Antoine Prost, 2014)

Chronique de Bruno Deshaies 20 novembre 2014

Le devoir de MÉMOIRE vs le devoir d’HISTOIRE

Notre passé nationaliste est orné d’une pléthore d’évocations de l’histoire pour meubler la mémoire historique collective. Dans notre situation de mineur nous nous sommes repliés vers la défense de nos intérêts provinciaux dans le régime politique canadien sans parvenir jusqu’à ce jour à créer le mouvement assez fort afin de faire agir collectivement une majorité substantielle qui acquerrait un sentiment national suffisamment vivant pour vouloir devenir une nation indépendante. Désormais, la démarche doit viser à stimuler l’atteinte d’une fin précise. Dans ce cas, «ayons le courage de désirer, de vouloir, de rechercher, d’affirmer, de défendre notre capacité de penser et d’agir par nous-mêmes, sans aucun tuteur interposé» comme il est dit dans la chronique précédente (cf., note 2).

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